Université, composantes et services
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« Intensifier nos liens avec les autres spécialités »

Doyen fraîchement élu de la Faculté des sciences historiques, Jean-Yves Marc livre son analyse des atouts et des faiblesses de sa composante. Le successeur de Benoît Tock évoque aussi certains des axes prioritaires de son mandat.

De quelle situation héritez-vous ?
En ce qui concerne le bâti, la situation est idéale. Les anciennes bibliothèques d’instituts ont été réunies, ce qui représente un progrès considérable. C’était un serpent de mer : on l’évoquait déjà lorsque je suis arrivé à Strasbourg, en 1995 ! Côté offre de formation, là aussi le travail est en finalisation. Peu de changements sont à noter. L’inquiétude en revanche concerne les effectifs de l’année à venir : on nous annonce une nouvelle hausse en première année. Nous ne procédons ni au contingentement ni au tirage au sort, mais allons être limités par nos capacités physiques d’accueil…

Et au point de vue administratif ?
Nous nous répartissons sur deux sites, le Palais universitaire et la Maison interuniversitaire des sciences de l’Homme-Alsace (Misha). Ce n’est pas toujours évident, mais nous pouvons compter sur le travail efficace de l’équipe administrative. Alors même que Benoît Tock me passait la main, Patrice Lang a remplacé Christine Favier au poste de responsable. Nous avions quelques craintes, mais la continuité n’a pas été mise à mal.

En termes de dynamisme et de rayonnement, estimez-vous que la Faculté des sciences historiques est en bonne forme ?
Les éléments positifs sont nombreux : un excellent rapport du Haut conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (HCERES), plusieurs projets de recherche financés par l'Agence nationale de la recherche (ANR), deux prix de thèse cette année et le décrochage de plusieurs financements Idex. Ces réussites ne s’arrêtent pas au monde académique : nous collaborons activement avec les musées de la Ville de Strasbourg à la préparation de l’exposition « Strasbourg, laboratoire d’Europe 1880-1930 ».
Nous avons en revanche une marge de progression en matière de réussite aux concours, Capes et agrégation. Chacun doit y prendre sa part. En termes de pédagogie, le département d’histoire* a fait des efforts considérables et doit être source d’inspiration. L’effort porte sur l’acquisition progressive, année par année, des compétences académiques (dissertation, commentaire de texte).

Existe-t-il d’autres débouchés pour les étudiants de la Faculté des sciences historiques que l’enseignement ?
La méthode indiciaire qui est la nôtre forme nos étudiants à la fois à la curiosité, à la réflexion et à la synthèse. Des compétences valorisables dans de nombreux domaines professionnels. L’archéologie préventive, en progression ces dernières années, offre un gisement d’emplois aux étudiants de la filière. De plus, la professionnalisation n’est pas absente de nos cursus, avec la création récente de la licence professionnelle Guide-conférencier, qui fonctionne bien.
En outre – c’était un engagement de Benoît Tock – des outils statistiques ont été mis en place. Nous souhaitons en tirer un meilleur suivi du devenir de nos diplômés. La création d'un poste administratif dédié a été demandée.

Vous êtes spécialiste de l’Antiquité, également directeur de l’Institut d’archéologie classique. Cela va-t-il influencer vos choix ?
Depuis peu notre faculté, qui comptait déjà de nombreux spécialistes des mondes méditerranéens, a fait de cette sphère d'étude une spécialité. Cet élargissement de notre ouverture sur le monde s'est matérialisée notamment par la création d'une licence Histoire et civilisation des mondes musulmans et la création de deux postes. Je souhaite élargir la perspective aux mondes perse ou turc. Une ambition, je le reconnais, quelque peu opportuniste de ma part ! Le domaine d’études évident pour Strasbourg, ce sont aussi les études germaniques. Je souhaite renforcer et donner davantage de visibilité à cet axe.
Je tire aussi de mon enseignement à l'École nationale supérieure d'architecture de Strasbourg (Ensas), l'ambition de renforcer les liens avec d'autres spécialités : l’architecture, dont les liens avec l’archéologie sont naturels, mais aussi les arts et les langues. Nous avons cette chance d’avoir réunies sous un même toit toutes les langues touchant de près ou de loin nos domaines d’études, contemporaines et anciennes. Un exemple de l'ouverture du champ des possibles qu'engendrent ces collaborations : le projet de rénovation du musée Adolf-Michaelis présenté récemment était porté par deux étudiants, l’un de chez nous, l'autre de l’Ensas. Une rencontre permise par un séminaire commun !

Recueilli par Elsa Collobert

* La Faculté des sciences historiques compte trois départements : histoire, histoire de l’art et archéologie.

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Le Pôle unique d'ingénierie élargit son périmètre d'action

Une réunion d'information du PUI.

Un peu plus de trois ans après son lancement officiel, le Pôle unique d’ingénierie a atteint son objectif : faciliter l’accès de la communauté universitaire aux programmes de financement nationaux européens ou internationaux. Aujourd’hui, il élargit encore son offre de services.

« Le Pôle unique d’ingénierie (PUI) est d’abord né d’une volonté de faire travailler en synergie l’ensemble des services de l’établissement impliqués dans la gestion de projets sur financements publics extérieurs, pour apporter à la communauté universitaire une vision claire de ses interlocuteurs et une offre de services efficiente », rappelle Sandrine Schott-Carrière, coordinatrice fonctionnelle du PUI. Grâce au soutien de l’Initiative d’excellence, le PUI a vu le jour en septembre 2013 et accompagne les enseignants-chercheurs et personnels administratifs du montage de la demande de soutien jusqu’à la clôture du contrat de subvention.  

« Le PUI n’a pas été conçu comme un nouveau service mais bel et bien comme une mutualisation transversale de ressources et de compétences de différents services, souligne Sandrine Schott-Carrière. Nous avons mis en place des outils et documents partagés, des procédures harmonisées et des bonnes pratiques de travail pour sécuriser au maximum la gestion des contrats. » Une offre de services claire ainsi qu’un guide détaillé des procédures sont disponibles en ligne pour tous dans l’ENT. « Aujourd’hui, nous avons absorbé le retard accumulé dans la justification des contrats. Nous avons su diversifier notre offre d’accompagnement de la communauté universitaire ». Des réunions d’information et des sessions de formations sont proposées sous différents formats, tout au long de l’année en collaboration avec la délégation Alsace du CNRS. Depuis la création du PUI, 20 sessions de formations pour environ  380 personnes dont deux tiers sont des administratifs ont été dispensées. 600 personnes ont participé à 22 réunions d’informations.  

Toujours plus de conseil et de nouveaux projets en SHS

Aujourd’hui, le PUI peut se réjouir d’avoir rempli ses objectifs mais ne s’en contente pas. « Tout cela porte ses fruits puisque nous avons constaté une augmentation très nette de notre activité de conseil et de plus en plus de nouveaux candidats se lancent dans des appels à projets, notamment en Sciences humaines et sociales. Nous sommes passés de 185 projets déposés en 2014 tous domaines confondus à près de 220 en 2015 puis en 2016. » Grâce à un nouveau soutien de l’Idex, le PUI va faire évoluer son périmètre d’activité et son offre de services, notamment en renforçant l’accompagnement des porteurs de projet en coordination. « Cela passe par le recrutement d’un chargé d’affaires supplémentaire et par la mise en place d’un fond d’amorçage, illustre Sandrine Schott-Carrière. Notre souhait est également de faire évoluer notre accompagnement vers une formule sur mesure et pour ce faire d’aller à la rencontre des chercheurs dans leurs laboratoires, afin de répondre à leurs besoins spécifiques, et détecter de projets ou de talents à la source. Nous avons également le projet d’un nouveau module de formation pour les doctorants. »

Pour augmenter le taux de succès, être présents toujours plus en amont

Un objectif à moyen terme est également d’étudier comment mutualiser les ressources avec les autres tutelles du site, au-delà des actions de sensibilisation et de formation, et de travailler sur la consolidation des données contractuelles pour tout le site strasbourgeois. Enfin, comme le souligne la coordinatrice fonctionnelle du PUI, il est devenu essentiel que l’université – par le biais de ses représentants politiques ou des enseignants-chercheurs - soit présente dans un certains nombres d’instances européennes, de groupes de travail thématiques ou de groupes d’experts évaluateurs, là où les décisions se prennent et les arbitrages se font.

Anne-Isabelle Bischoff

Le PUI en quelques chiffres

  • 297 projets actifs
  • Plus de 48 M€ de contrats
  • 20 formations proposées
  • 382 personnes formées

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« Pour chaque accompagnement, je fais du sur-mesure »

La nouvelle psychologue du travail de l’Université de Strasbourg depuis février, Charlotte Petit, explore pour L’Actu la diversité de ses missions et les particularités insoupçonnées de son poste.

Après Charlotte Beck, Charlotte Petit : la jeune femme est la seconde à occuper le poste de psychologue du travail de l’Université de Strasbourg. Sa création, en septembre 2014, répondait aux évolutions réglementaires en matière de prévention des risques psychosociaux (RPS).
« À mon arrivée, j’ai avant tout veillé à assurer une continuité dans la prise en charge des situations individuelles et collectives de mal-être au travail, ce que l’on appelle dans le jargon la "prévention tertiaire". » Pourtant, là n’est pas  son rôle premier. « Je n’assure pas de prise en charge thérapeutique pour les personnes en grande souffrance psychologique, que je réoriente alors vers des réseaux extérieurs. Mon action se concentre surtout sur les niveaux 1 et 2 de la prévention : agir en amont des problématiques. »

Prévenir plutôt que guérir

Cela consiste à la fois à éliminer à la source les facteurs de risques, mais aussi à outiller les agents pour leur permettre de lutter plus efficacement contre le stress et les différents risques auxquels ils sont confrontés. « Cela passe notamment par la formation », précise Charlotte Petit. La psychologue du travail en anime une intitulée « Sensibilisation aux risques psychosociaux », et cite encore « Être acteur de son bien-être au travail » ou « Mieux gérer ses émotions ». « Avec le Service de prévention, sécurité et environnement (SPSE), nous travaillons aussi à l’élaboration d’une nouvelle formation, intitulée "Intégration des RPS dans le document unique"* ».

Entretiens individuels et diagnostics organisationnels

Dans le cadre de ses missions, Charlotte Petit reçoit les agents en entretien individuel. Elle élabore également des diagnostics organisationnels, s’immergeant dans les composantes ou les services dans lesquels des difficultés lui ont été signalées, et établissant des préconisations, dont elle peut accompagner la mise en œuvre. Son intervention peut aussi concerner l’accompagnement au changement, en cas de refonte d’organigrammes ou de fusion de composantes/services.
« À l’échelle individuelle, j’agis toujours à la demande des agents : on ne peut contraindre quiconque à venir voir la psychologue du travail. Pour les situations collectives, je suis la plupart du temps mandatée pour intervenir. Je peux aussi être à l’initiative, si par exemple plusieurs agents d’un service m’ont fait part d’une même problématique. » 
Parfois, l’orientation vers la psychologue du travail est réalisée par le médecin du travail. « Chaque accompagnement est fait sur mesure, et toujours avec le souci de la préservation des agents, quel que soit leur statut », précise Charlotte Petit, soumise bien sûr au secret professionnel.

Travail en réseau

Rattachée au Service de santé au travail (SST), son rôle implique de nombreuses interactions avec la Direction des ressources humaines (DRH). « Nous nous rencontrons régulièrement, notamment dans le cadre de réunions mensuelles consacrées aux situations collectives, et plus ponctuellement lors des réunions du groupe Qualité de vie au travail. Nos réflexions intègrent notamment la question du déploiement du télétravail. » Charlotte Petit travaille aussi en réseau avec de nombreux acteurs : SPSE, Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT), représentants du personnel, vice-présidente RH, Direction générale des services (DGS) ou encore assistante sociale, au plus près du terrain. « Pour que l’inévitable temps de latence entre l’émergence d’une difficulté dans le travail et l’action soit réduit au minimum. »

E. C.

* Le document unique d’évaluation des risques recense à l’échelle de l’établissement les facteurs de risques aussi bien physiques (incendie, contamination chimique) que plus immatériels comme les RPS.

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« Coordonner et arbitrer, c’est le rôle du chef de projet informatique »

Eric Laemmer

Depuis douze ans, d’abord à l’Université Louis-Pasteur (ULP) puis à l’Université de Strasbourg, Eric Laemmer est chef de projet informatique. Un métier aux multiples casquettes, à l’interface entre le besoin du « client » et sa matérialisation sous forme de logiciel ou d’application.

Un chef de chantier : c’est à cela que l’on pourrait assimiler le métier d’Eric Laemmer, chef de projet informatique. Sauf qu’au département Service métiers de la Direction informatique (DI), où il travaille, on ne trouve ni casque orange, ni gilet jaune, ni bétonneuse. Pourtant, comme pour un chantier immobilier, à chaque projet « son maître d’ouvrage (le client) et son maître d’œuvre (moi)… » Sous sa responsabilité, pas de maçons ou de plâtriers, mais une équipe « mouvante, constituée par projet. À chaque démarrage, je lance un appel aux personnes disponibles et aux compétences adéquates : développeurs, responsables d’applications, voire architectes des systèmes d’information pour les projets de grande ampleur. »
En moyenne, Eric Laemmer pilote cinq projets simultanément, tout comme ses trois homologues chefs de projet à temps plein de la DI. « Une grande part de mon métier consiste à limiter les risques et à faire remonter des alertes pour arbitrage. » Pour estimer la durée de chaque projet, très variable, plusieurs paramètres entrent en ligne de compte : l’estimation avec le « client » de ses besoins, le temps de production puis la phase de test avant la livraison. « Le tout s’inscrit dans un triangle à trois variables : coût, qualité, délai », précise le chef de projet, qui travaille à l’aide de diagrammes de Gantt pour visualiser son planning en réadaptation perpétuelle. Des impondérables interviennent aussi dans cette mécanique : les bugs, forcément imprévisibles ; les dépannages prioritaires d’applications déjà en service ou des changements fonctionnels pendant la réalisation. Mais aussi l’addition de projets réglementaires à date butoir exigés par l’Etat, comme la Gestion budgétaire et comptable publique (GBCP), modifiant les priorités des autres projets.
Et Eric Laemmer de donner des exemples : « Si le formulaire de certification d’identité du réseau Alumni ne nous a pris que cinq mois, la refonte de l’ENT prendra nettement plus de temps… »

 « Un tampon »

Qui sont les « clients » cités par Eric Laemmer ? « Il peut s’agir de l’université ou de la DI, dans le cas de Seafile. Mais aussi des services (la Direction des ressources humaines-DRH dans le cas d’Agadir) ou des extérieurs, comme l’École nationale d’administration (ENA) pour Moodle.
Le chef de projet, « en recherche perpétuelle de consensus », est dans une position de « tampon » entre réalisation concrète et exigences du client. « Ces besoins, il faut bien les définir en amont, au risque sinon de gros retours en arrière, démotivants pour les équipes. » Pour cette raison, ils ont de plus en plus recours à des dessins pour matérialiser une interface, « l’écrit laissant davantage de place à l’interprétation ». Essentiel aussi pour le chef de projet : « Prévenir la hiérarchie pour stopper un projet qui s’enlise. Ce qui n’est pas un échec, mais permet au contraire d’arrêter l’hémorragie, aussi bien en temps de travail qu’en moyens financiers ».

« Mettre les mains dans le cambouis »

« J’aime mettre les mains dans le cambouis », reconnaît Eric Laemmer, qui souligne aussi le bénéfice de ses études d’ingénieur de gestion des systèmes industriels. « Même si le meilleur apprentissage se fait sur le terrain. » Parmi les projets exemplaires qu’il aime citer : « Pod*, mis en œuvre en groupement avec d’autres universités, et dont les avancées sont reversées à la communauté, dans l’esprit open source. » Être ainsi en contact avec de nombreux interlocuteurs, c’est une des facettes de son métier qu’il apprécie le plus : « Direction des usages du numérique, DRH ou Direction générale (toujours présents pour les projets d’établissement structurants) : j’ai appris à tous les connaître ». Il souligne encore l’importance de la communication et de l’accompagnement au changement, « car on change la façon de travailler des gens ».

E. C.

* Successeur d'Audio Vidéo Cast

Votre avis nous intéresse…

La série d’articles consacrée aux métiers du numérique à l’université se conclut avec ce dernier portrait. Vous pouvez retrouver ici les précédents volets. Ce rendez-vous régulier vous offrant une plongée dans le quotidien de collègues, proches ou plus lointains, étant une expérimentation, nous souhaiterions désormais vous consulter : l’initiative vous a-t-elle paru intéressante ? Est-elle à renouveler ? Quelle thématique professionnelle souhaiteriez-vous voir à l’honneur ? Exprimez-vous !
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Luttez contre les spams en quelques clics

Découragé par les courriels indésirables qui envahissent régulièrement votre boîte mail ? Il existe pourtant une arme simple pour mettre fin à cette éternelle pollution numérique.

Les résultats de l’enquête annuelle de satisfaction menée par la Direction informatique (DI), actuellement en cours d’analyse, sont sans appel au moins sur un point. « Les gens en ont marre des spams ! », lâche Julien Dupré, directeur-adjoint de la DI.
Pourtant, des solutions simples existent pour mettre fin à cette pollution, analogue aux publicités reçues à votre domicile. À la manière de l’autocollant « Pas de pub » sur notre boîte aux lettres, un outil est à portée de clic pour rester maître de ce qu’on souhaite recevoir ou non sur son ordinateur : le filtre anti-spam.
Première étape essentielle : l’activation sur son poste. Pour cela, un tutoriel est à votre disposition pour suivre la bonne procédure en fonction de votre client de messagerie (Thunderbird, Appel mail), en version écrite ou vidéo.
« Ensuite, il faut prendre quelques secondes par jour pour apprendre au filtre anti-spam à repérer les courriels reçus indésirables, explique Guy Brand, responsable sécurité des systèmes d'information (RSSI) de l’Université de Strasbourg. De cette manière se construit un filtre personnalisé pour chacun : un agent ne communiquant qu'en français pourra désigner comme indésirables tous les courriels en anglais, mais ce ne sera pas forcément le cas pour une autre. Si j’étudie le chinois, je n’ai aucun intérêt à voir dirigés automatiquement dans le dossier Indésirables les courriels en chinois ! Même chose pour un spécialiste de la reproduction avec les courriels portant comme mots-clés "sexe" ou "hormones". » Attention, il faut également penser à faire l’inverse ! « Si un courriel que vous jugez acceptable se retrouve dans votre dossier Indésirables, il faut le signaler au filtre, qui ne fait que ce qu’on lui commande ! »
« Ces étapes réalisables en quelques clics permettent de réduire drastiquement le nombre de messages indésirables. Même au bout d’une semaine, le résultat du filtre est impressionnant ! », assure Guy Brand. Car, rappelle le RSSI, le premier niveau de filtre mis en place par la DI à l’échelle de l’université, même s’il va encore être amélioré, n’est capable de ne filtrer « que » 60 % de la masse des spams entrants.

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Le label Marianne décerné aux trois IUT de l’Unistra

L’IUT de Haguenau, l’IUT Louis-Pasteur de Schiltigheim et l’IUT Robert-Schuman d’Illkirch ont obtenu le label Marianne, référence commune en matière d'accueil et de relation aux usagers des services publics.

Par l’obtention de ce label, les trois IUT de l’Unistra démontrent que la relation aux usagers, public extérieur mais aussi étudiants et personnels, est au cœur de leurs préoccupations.
Le dynamisme et le travail d'équipe performant des agents administratifs et techniques des IUT ont été soulignés lors des audits qui se sont déroulés courant mars 2017 dans les trois établissements.
Attribué pour une durée de trois ans par des organismes certificateurs indépendants, ce label certifie que les engagements du référentiel Marianne sont bien respectés. Parce qu’il met en valeur le travail des agents en relation avec le public, le label Marianne est aussi un outil de motivation des équipes pour améliorer durablement la qualité de service. Plus de 230 organismes sont aujourd’hui certifiés label Marianne (données mars 2017).

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Windows 10 s'installe à l'université

Nous vous l'avions annoncé, Windows 10 s'installera prochainement sur les ordinateurs de l'université.  Pour accompagner cette évolution, des réunions d'information seront programmées pour les usagers tout au long du processus et des modules de formation sont d'ores et déjà disponibles auprès du Bureau de la formation continue.

C'est un système personnalisé qui sera mis à disposition des utilisateurs. Au menu des nouveautés : le menu « Démarrer » optimisé, de nouvelles tuiles applicatives personnalisables... mais aussi le respect des recommandations de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information et de la Commission nationale informatique et liberté (Cnil) afin de préserver la confidentialité des données.
À partir de la rentrée, tout ordinateur géré par la Direction informatique et nouvellement acquis sera doté de la dernière version du système de Microsoft. Fin septembre, ce sont les postes de travail des services centraux qui débuteront progressivement cette mise à jour.
La suite bureautique Microsoft Office 2016 accompagnera également cette évolution, les logiciels actuellement en usage resteront quant à eux, disponibles.

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Des panneaux photovoltaïques installés par des étudiants sur le hall de technologie

Travail sur le toit du hall de technologie lors de l'installation. Crédit : DR.

Dans le cadre de leur projet tuteuré, trois apprentis de la licence professionnelle Qualité et maîtrise de l’énergie électrique (QMEE) ont dimensionné et installé des panneaux photovoltaïques sur le toit du hall de technologie (Faculté de physique et ingénierie), à Illkirch.

Outre une mise en application de leur connaissances pour Rodolphe Stocky, Quentin Zacher et Grégory Izard, cette installation a déjà permis, vingt jours après sa mise en service, d'injecter 170 kWh (kilo Watt-heure) dans le réseau. Les simulations tablent sur une production annuelle de 1,5 MWh (mega watt-heure), soit la consommation électrique d’une famille de trois personnes.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2017

 Septembre Octobre
Conseil académique
14 h - Mardi
 / /
Congrès
14 h - Mardi
 / /
Conseil d'administration - CA
14 h - Mardi
 26 /
Commission de la formation et de la vie universitaire - CFVU
14 h - Mardi
 mercredi 27 24
Commission de la recherche - CR
14 h 30 - Mercredi
 27 /
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 12 jeudi 17
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Jeudi
 / 5
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 18 /
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
14 h - Lundi
 / 2
Comité technique d'établissement
 28 

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Liens vers les lettres électroniques utiles